Écologistes politiques, hypocrites et idiots utiles

Les « personnalistes » gascons Jacques Ellul et Bernard Charbonneau étaient d’époustouflants visionnaires beaucoup trop humbles et intelligents pour les pseudo-intellectuels de leur époque : cuistres jacobins et autres trotskistes et maoïstes toujours à l’œuvre aujourd’hui, passés à l’écologie politique après de multiples recyclages toujours plus médiocres dont l’idéologie Woke, ce marxisme culturel importé des universités américaines.

De son côté, Jacques Ellul avait prévu les dérives et la folie de la société technocratique qui a appauvri, conduit à la corruption généralisée, à l’asservissement et au totalitarisme.

Bernard Charbonneau, quant à lui, avait vu la prochaine étape qui se profile : l’écofascisme des gouvernements et des bobos de quelques grands centres villes, et autres gauchistes désespérés rêvants d’une renaissance de la « gauche » au travers d’EELV sur le champ dévasté de 40 ans de socialisme, cette traitrise fondée sur le clientélisme et le capitalisme de connivence complice avec la haute bourgeoisie, la poursuite d’un étatisme totalitaire, obèse, bureaucratique forcené et violent : le plus grand ennemi de l’homme et de la liberté.

Ces idiots utiles sont pour le monde qui a été construit, où tout est fabriqué, acheté et transporté depuis la Chine totalitaire dans des usines fonctionnant toutes au charbon, transportant leur camelote dans des supertankers hyperpolluants et des camions. Tout cela pour que les occidentaux écologistes puissent acheter leur boulgour dans la Biocoop du coin et continuer, sur leur smartphones et ordinateurs fabriqués au charbon chinois, à pouvoir vomir sur les réseaux sociaux leur haine de classe sur les ruraux esclaves de leur voiture, mais aussi contre le nucléaire, pourtant beaucoup moins polluant que le charbon et le gaz poussés par les lobbies derrière l’éolien et le solaire : car oui, qui dit énergies intermittentes dit du gaz quand il n’y a pas de soleil ni de vent.

Tous ces gens se targuant de vouloir sauver le monde sont d’une bêtise et d’une hypocrisie incroyable. Ce sont les idiots utiles des gouvernements et des multinationales en quête de nouvelles taxes, de monopoles, d’asservissement de consommateurs dociles, d’accès aux ressources réservées à quelques privilégiés et de transfert des richesses vers des paradis fiscaux.