Totalitarisme sanitaire et bioterrorisme d’État en bande organisée

Ce billet est dédié aux victimes des effets secondaires des injections de ritrovil et de produits expérimentaux dans le cadre de la crise sanitaire du COVID19, leur famille et leurs proches, aux Soignants Suspendus, pompiers, etc. victimes d’un apartheid immonde.

Lors de la crise sanitaire du COVID-19 les droits constitutionnels élémentaires ont été violés avec la mise en place d’obligations (confinement, masque, pass…) sur la base de fausses allégations. Non seulement ces obligations n’avaient aucune efficacité sanitaire, mais elles ont également porté atteinte à la vie et l’intégrité des personnes y compris les plus fragiles, à la vie sociale, à la sécurité publique, la sécurité nationale, à l’économie, et a semé la division.

L’analyse et les enquêtes sur les moyens mise en œuvre lors de cette crise ont mis en évidence de très nombreuses infractions au code pénal, citons notamment la mise en danger de la vie d’autrui ou encore l’abus de qualité vraie, dans le cadre d’actions planifiées, coordonnées, en bande organisée.

L’enquête présentée ci-dessous est centrée sur le rôle :

  • des officines de fact-checking,
  • des médecins « de plateaux » TV et harceleurs NoFakeMeds sur Twitter
  • la société de conseil américaine McKinsey

Dans ce cadre, cela concerne les infractions suivantes :

  • La complicité des médias et officines de fact-checking qui ont fourni à l’État le dispositif médiatique et de censure (moyens) pour la propagande d’État aux conséquences criminelles Article 121-7 du code pénal
    • Le système de censure mis en place fait obstacle à la manifestation de la vérité Article 434-4 du code pénal sur l’existence de traitements, les effets secondaires et les décès dus aux injections
    • Le placement de produits pharmaceutiques expérimentaux comme solution unique en dépit des obligations de prudence ou de sécurité Article 121-3 du code pénal et au détriment d’autres solutions de traitement pouvant sauver des vies constitue un abus frauduleux de l’état d’ignorance Article 223-15-2 du code pénal
  • La prise en charge de la stratégie sanitaire par une entreprise étrangère, McKinsey, présentant des conflits d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques Article 411-4 du code pénal

Les 2 leviers de la vaccination Covid-19

  • Stratégie fournie clé en main par le cabinet McKinsey
  • La propagande « Nous sommes en guerre », l’élimination des opposants (plus ou moins fabriqués, « opposition contrôlée ») en sapant leur réputation via des fact-checkers et médias subventionnés, le blanchiment de fausses informations sur Wikipédia et la censure sur les médias sociaux.

Bioterrorisme multi-facette : attaques sur la biologie des individus

Attaques sur la psychologie et le système immunitaire par l’usage de techniques sectaires :

  • Enfermement et destruction du lien social : confinements, couvre-feu, distanciation sociale, masquage, dont l’inutilité et l’inefficacité contre le vaccin ont non seulement été démontrées, mais au contraire affaiblissent le système immunitaire en augmentant la sédentarité, l’angoisse, le manque d’air
  • Stress par matraquage d’informations anxiogènes (comptage de morts journaliers…) via les médias mainstream subventionnés et propriété de milliardaires
    • La peur annule l’esprit critique et augmente la soumission
    • Le stress, l’enfermement et la destruction du lien social affaiblissent le système immunitaire et provoquent des maladies

Politique coercitive du « tout-vaccin », interdiction de traitements, imposition coercitive de produits expérimentaux non testés sur leur efficacité et leur dangerosité

  • Effets secondaires graves et décès
  • Destruction du système immunitaire
  • Diabolisation, marginalisation et élimination sociale des populations ne se soumettant pas à la coercition :
    • Suspension de revenus et d’activité des personnes appartenant à des catégories soumises à une obligation d’injection des produits dits contre le COVID-19 : soignants, pompiers…
    • Privation de liberté de circuler et d’exercer certaines activités sociales (voyage, sport, cinéma, culture…) pour les individus refusant les injections de produits
    • Atteinte aux droits fondamentaux des individus

Stratégie clé en main par McKinsey

McKinsey a distribué sa feuille de route sanitaire pro-vaccination à une soixantaine de gouvernements occidentaux tout en étant au service de Pfizer, principal fabricant de produits appelés abusivement « vaccins », et du Forum économique mondial de Davos sous l’égide de Klaus Schwab, l’hayatollah du Great Reset.

Le 23/12/2020 au siège du ministère de la santé a lieu une visioconférence présidée par Olivier Véran, alors ministre de la santé. La stratégie vaccinale de la France y est présentée par Maël De Calan, alors consultant McKinsey. Cette réunion s’adressait aux directeurs des ARS et d’hôpitaux.

Porte-tambour

Maël De Calan est devenu président du Conseil départemental du Finistère en 2021.

Des consultants Mckinsey prennent des postes de haut-fonctionnaires et inversement : missions, pantouflage, rétro-pantouflage, capitalisme de connivence : la collusion avec l’État français est totale.

Propagande « Nous sommes en guerre »

La censure bat son plein sur médias sociaux Facebook, Twitter (avant le rachat par Elon Musk et les révélations des « Twitter Files« ) qui sont des canaux d’information difficiles à complètement contrôler par l’État. Sauf par la censure, justement masquée sous le couvert de « chasse à la désinformation » et au « complotisme » aux « antivax », sophismes creux ayant pour but d’amalgamer et de réduire au silence sans débat. Les chroniqueurs télévisuels en roue libre iront jusqu’à ternir des propos de haine, validés de fait par l’État qui les subventionne.

Terrorisme intellectuel d’État en bande organisé

fakecheckers et fonds Marianne

Un terrorisme d’État en bande organisé se met en place avec un circuit allant des officines de Fact-Checking jusqu’au de blanchiment de fausses informations sur Wikipédia et les publications dans les médias subventionnés : mensonges d’État sur l’efficacité des vaccins Covid-19, études truquées sur commande (voir le scandale du Lancet), sapage de réputation « Character assassination » de scientifiques ou experts ayant un discours réservé ou critique concernant la politique du « tout vaccin ».

Les médias subventionnés relaient les informations et citent pour source les articles de fact-checkers pré-commandés et subventionnés pour cibler les opposants.

Financement de la censure pour les intérêts des laboratoires pharmaceutiques et des gouvernements pilotés par McKinsey (ingérence étrangère)

Différents circuits financiers sont identifiés pour financer et opérer la censure et le sapage de réputations, le plus abject étant le détournement du Fonds Marianne créé à la suite de l’assassinat de Samuel Paty pour lutter contre les discours haineux : l’officine Conspiracy Watch de Rudy Reichstadt bénéficiera de ces fonds pour ses basses besognes, ainsi que d’autres officines fournissant des moyens de propagande et de ciblage des opposants au régime en place.

Cas de la petite officine de barbouzerie Fact and Furious

Des officines de Fact-Checking reçoivent des agréments ou subventions, le blog Fact And Furious reçoit la prestigieuse qualification IPG par le ministère de la culture lui permettant d’être reconnu comme un organe de presse, et se voit propulsé partenaire de Google, de l’AFP et d’autres grands médias dans la « lutte contre la désinformation ». Il s’agit en réalité d’instruments :

  • De sapage de réputation de tout scientifique, expert, influenceur ou collectifs de victimes des vaccins ayant un discours argumenté, critique et/ou réservé sur la politique sanitaire défaillante et du « tout-vaccination ».
  • De blanchiment de mensonges d’États et de propagande politique sanitaire totalitaire

Pour repérer quelles sont les cibles à abattre par Fact and Furious pour le régime via ses médias subventionnés, il suffit de compter le nombre d’articles à charges sur une même personne, nous arrivons à la liste suivante :

  • Martine Wonner, députée et médecin psychiatre
  • Christine Cotton, biostatistitienne ayant démontré très tôt les graves défaillances des tests du produit Comirnaty Pfizer & BioNTech
  • Alexandra Henrion-Caude, généticienne spécialiste de l’ARN (acide ribonucléique utilisée dans les produits injectés pendant la crise sanitaire)
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Christian Perronne, médecin et ancien chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches
  • Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale
  • Didier Raoult, microbiologiste spécialiste des maladies infectieuses, professeur des universités, praticien hospitalier au sein d’Aix-Marseille Université et des Hôpitaux universitaires de Marseille jusqu’à sa retraite en 2021 et directeur de la fondation institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU).
  • Idriss Aberkane, essayiste et influenceur enquêtant notamment sur l’instrumentalisation des médias à des fins crapuleuses

Il y a-t-il un lien de cause à effet quand le média France Soir, immédiatement après la sortie de son enquête sur Fact and Furious, perd son statut de service de presse en ligne géré par la commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) ?

Connexions entre l’Élysée et Fact and furious

L’enquête de France soir fait apparaitre une connexion directe entre l’Élysée et Fact and furious, officine de sapage de réputation des opposants à la politique tout-vaccin dictée parle cabinet McKinsey.

Connexions et connivences entre État, médecins harceleurs et sapeurs de réputation

Harcélosphère NoFakeMeds et médecins de plateaux TV autour du sénateur Roger Karouchi

On retrouve ici parmi les pires médecins :

  • Placeurs de produits pharmaceutiques au détriment des obligations de sécurité/prudence (cf. plus bas le code pénal) et au mépris des soins et du « consentement éclairé »
  • Harceleurs et sapeurs de réputation de scientifiques ou experts ayant un avis divergent par rapport à la politique du « tout injection de produit »
covid corruption

Monsieur Le juge.
Vous pouvez constater la première pièce du dossier : pièce 1, le rapport d’expertise pointant le lien de causalité entre le vaccin Comirnaty de Pfizer et le décès d’Éva Musso, jeune femme de 30 ans, survenu peu de temps après l’injection en 2021. Constatez ensuite la désinformation faite par des personnalités sans compétence médicale, n’ayant consulté aucun MISP/PISP* et plaçant des produits expérimentaux.

(*) MISP Maédecin Inspecteur de Santé Publique et PISP Pharmacien Inspecteur de Santé Publique sont en charge de la validation de tout produit pharmaceutique avant sa mise sur le marché, ce qui na pas été le cas pour les dits « vaccins » contre le COVID-19.

Moquons nous de ces crapules de factcheckers et médecins de plateau

Ces vidéos sous forme humoristique mettent en évidence les incohérences, mensonges et techniques de manipulation des masses par les placeurs de produits pharmaceutiques, de technologies de contrôle social et d’appauvrissement des petites entreprises et indépendants.