Le mouvement Black Live Matters est loin d’être ce qu’il prétend, soit-disant anti-raciste. En réalité c’est un des multiples instruments du Parti Communiste Chinois, des mondialistes et de l’État profond pour diviser et régner, détruire la liberté des peuples et des individus.
Le Black Futures Lab soutenant Black Live Matter est financé par la Chinese Progressive Association fondée en 1972, année où la sanglante révolution culturelle chinoise lancé en 1966 en Chine par Mao se transforme en mouvement mondial.
Le centre de gravité de ce pseudo-progressisme est La Californie, où se situe également la Silicon Valley et les Big Techs, base pour l’espionnage technologique et politique, l’influence chinoise, l’infiltration du parti démocrate et du système électoral américain.
Les ramifications de la Chinese Progressive Association apparaissent également par l’adhésion de leurs dirigeants à LeftRoots, une organisation de groupes d’extrême gauche, dont le manifeste est un agenda planifiant pour 2022 la mise en place d’une révolution communiste aux USA en instrumentalisant les minorités et le parti démocrate.
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